Le Mur de Grisetête ( Angl. Greymane Wall) fut érigé après la Deuxième Guerre par Genn Grisetête afin de séparer la nation humaine de Gilnéas du reste de l'Alliance à cause d'un conflit financier concernant les camps d'internement pour les orcs.
Il s'agit d'un grand mur avec une herse, situé à la limite sud de la Forêt des Pins Argentés (près de Bois-du-Bûcher) et à la limite nord de Gilnéas.
Ce mur gris énorme marque la frontière entre Lordaeron et Gilnéas. Aucun homme ne semble monter la garde au sommet ou devant les portes - le mur semble mort. Néanmoins, des réfugiés venant du nord se sont installés à l'ombre du mur, espérant qu'on leur porte assistance après la chute de Lordaeron, le déferlement du Fléau Mort-vivant et l'apparition des Réprouvés.
Ces infortunés ne voient jamais aucun habitant de Gilnéas et sont des proies faciles pour les Worgens qui s'éloignent parfois aussi loin au sud du Donjon d'Ombrecroc.[1]
Ceux qui se trouvent de l'autre coté, dans Gilnéas, ont été épargnés par la Peste, mais pas par la malédiction Worgen.
Dans "A l'orée de la Nuit"[]
Dans la nouvelle "A l'orée de la Nuit" présentant Sylvanas Coursevent après la chute du Roi-Liche, on apprend que le Mur est doté d'une puissante artillerie et que les gilnéens défendent toujours le mur même après avoir succombé à la malédiction worgen.[2]
Dans Cataclysm[]
Dans la nouvelle extension, World of Warcraft: Cataclysm, le Mur de Grisetête recevra une mise à jour graphique majeure pour accompagner l'architecture de Gilnéas. Les portes du mur seront détruites, révélant finalement ce qui est arrivé au royaume de Gilnéas: les habitants ont réussi a trouver un remède partiel à la malédiction worgen qui leur permet de garder leur esprits humains même lorsqu'ils se transforment et leur permettent de se transformer à volonté.
