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La Main de Tyr ( Angl.  Tyr's Hand) est une cité fortifiée située dans le sud-est des Maleterres de l'Est. Elle compte une population de 9000 habitants.[1] La Main de Tyr est l'une des dernières colonies humaines majeures de cette partie de Lordaeron (sans compter la Chapelle de l'Espoir de Lumière). Elle est contrôlée par une armée de la Croisade Écarlate et est restée relativement intouchée par la Peste. Les quelques humains qui parcourent les Maleterres recherchent désespérément la sûreté de la Main de Tyr. [1]

Il y a plusieurs chaînes de quêtes à faire ici : La ruse de Nathanos (avec Nathanos le Flétrisseur), Des composants importants (avec Bodley du Pic de Rochenoire, pour obtenir le Set 2 de donjons), et Les vrais maîtres de la Lumière (pour la monture des paladins elfes de sang).

Cette zone est en bien meilleure condition que le reste des Maleterres, bien que les arbres et autres plantes sont évidemment en train de mourir.

Histoire[]

Histoire ancienne[]

La Main de Tyr était une large cité portuaire peuplée par des humains, située sur la côte est du continent de Lordaeron et était loyale à son royaume. Elle fut fondée par des pèlerins qui migraient vers l'est dans des terres contestées par des bandes nomades de trolls des forêts, et nommée d'après Tyr, le héros légendaire des anciennes histoires. [2] Elle devint rapidement un bastion de sécurité de la région ainsi qu'un lieu d'échange et de commerce grâce à la proximité du royaume des Haut-elfes de Quel'Thalas.

Pendant la Deuxième Guerre, des ennuis ont surgi dans la commune de la Main de Tyr quand la population paysanne locale fut à l'origine de révoltes mineures. Le soulèvement fut réprimé et les chevaliers de la Main d'Argent furent appelés pour surveiller la population. L'Alliance chercha et détruisit toute trace des forces de la Horde de la région pour maintenir l'ordre. Il fut découvert par la suite que la rébellion avait été lancée par des espions d'Alterac dans l'espoir de cacher les opérations minières de la Horde qui s'y trouvaient. Plus tard, la Horde employa des ogres mages pour mettre en place et défendre une forteresse à l'entrée de la Baie de Tyr, coupant les lignes d'approvisionnement des humains vers Quel'Thalas, et leur permettant de raser la ville et ses ports. Elle fut reconstruite plus tard.

Histoire récente[]

Pendant la Troisième guerre, le Fléau assiégea la cité fortifiée mais ne parvint pas à faire une brèche, notamment grâce aux efforts tenaces de sa garnison qui déclara plus tard allégeance à la récente Croisade Écarlate.

A un certain point, le Haut Général Abbendis (père) commanda la cité et ses croisés et prêtres. La cité comprenait de nombreuses églises, dont l'immense Basilique écarlate (le centre de commandement de la Croisade écarlate), une abbaye et une église. Au centre de la cité se trouve le nouveau Monastère écarlate, un grand édifice qui rivalise avec la Cathédrale de la Lumière de Hurlevent.[1] La Main de Tyr est dans une position si stratégique que la fille d'Abbendis, Brigitte Abbendis continua de l'utiliser comme siège de la Croisade après sa mort. A ce jour, la Main de Tyr a résisté aux Mort-vivants de Kel'Thuzad et continue de servir non seulement de base d'opérations régionale de la Croisade, mais également de son centre religieux. Dans l'obscurité morne des Maleterres de l'Est, c'est la seule pièce de verdure.

Une cité d'églises[]

La Main de Tyr, en tant que centre religieux de la croisade écarlate, est clairement une cité d'églises: une église rappelant la Chapelle de l'Espoir de Lumière proche, une autre très similaire à l'Abbaye du Comté-du-nord, et bien sûr la Basilique, construite comme le bâtiment central de la Cathédrale de Lumière d'Hurlevent.

Dans Wrath of the Lich King[]

Wrath-Logo-Small Cette section concerne des contenus exclusifs à Wrath of the Lich King.
Dans World of Warcraft: Wrath of the Lich King, les nouveaux chevaliers de la mort commence dans une zone à l'est de la Main de Tyr, au sommet d'une nécropole nommée Achérus : le fort d'ébène. Pour commencer, les chevaliers de la mort sont du coté du Fléau et reçoivent leurs ordres du Roi-liche lui-même, ainsi que d'autres membres du Fléau tels que le Baron Vaillefendre et l'Instructeur Razuvious. Ils ont pour mission de réduire à néant les villes de Nouvelle-Avalon et Havre-comté sur la côte.

Dans la version non instanciée de la même région, la Main de Tyr n'est bizarrement pas affectée par la dévastation apportée par le Fléau sur les villes voisines. Il est suspecté que la ville ait été détruite ou abandonnée. Ce qui est sûr, c'est que certains de ses dirigeants tels que Brigitte Abbendis ont formé l'Assaut écarlate et sont partis en Norfendre.

Dans Cataclysm[]

Cataclysm Cette section concerne des contenus exclusifs à Cataclysm.
Ironiquement, il est révélé que chaque Croisé écarlate de la Main de Tyr a été transformé en mort-vivant, et la Fraternité de la Lumière, dont Eligor Portelaube, l'Archimage Angela Dosantos et Korfax, Champion de Lumière, récemment revenus du Norfendre, décida de la reprise de la Main de Tyr. D'après Eligor, la Fraternité ne connait pas la cause de la transformation des croisés en morts-vivants[3], mais il s'agit probablement de Balnazzar, qui a fait la même chose aux croisés de Stratholme. Au bout de quelques quêtes la ville est reprise entièrement par la Croisade d'argent.

Clin d'œil[]

Le nom de la ville fait référence à Týr, le dieu de la justice dans la mythologie scandinave. Cette divinité a sacrifié son bras droit afin de sauver l'ordre du monde du loup Fenrir.

Dans le monde de Warcraft, le nom de la ville vient de ceci[2]:

Il y a longtemps, sur le continent qui deviendrait par la suite les Royaumes de l'est, un petit groupe de créatures luttait pour leur survie, utilisant les ressources limitées fournies par leurs parents qui venaient de les abandonner sur une plage inconnue. Ces créatures, aussi appelés "humains", se rassemblaient parfois autour du feu pour tenter de lire des parchemins parlant d'anciens héros et chefs - des contes de la civilisation qui les a rejetés. L'un de ces parchemins parlait d'un grand meneur, un parangon de l'ordre et de la justice, qui sacrifia sa main droite dans un combat contre un mal insondable. Bien que ses pouvoirs lui auraient permis de rattacher sa main après la fin du combat, le héros choisit à la place de la remplacer par un poing fait dans l'argent le plus pur. De cette manière, le héros fit comprendre à ses suivants que l’ordre véritable et la justice ne peuvent être accomplis que par des sacrifices personnels. Ce héros, qui disparut des mémoires il y a bien longtemps, se nommait Tyr.

Références[]

  1. 1,0 1,1 et 1,2 Lands of Conflict, p.95 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « LoC95 » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  2. 2,0 et 2,1 Demandez au CDev
  3. Neutre[42] L'assassin
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