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L'Église de la Lumière, aussi connue comme l'Église de Lumière, l'Église de la Sainte Lumière ou encore l'Église de la Lumière sacrée, est une organisation et institution religieuse, basée principalement à Hurlevent et comporte approximativement 800.000 membres, affiliés à l’Alliance.

Mission[]

L’Église de la Lumière peut être trouvée partout dans Azeroth. Elle est basée principalement à Hurlevent, où ses chefs se rencontrent dans la Cathédrale de la Lumière. L'Église envoie ses sujets aux quatre coins du monde, diffusant la sagesse et la bienveillance de la Lumière. Ses membres aident aussi leurs prochains d’une manière plus pratique et pragmatique, allant de la construction de maisons aux règlements de disputes familiales ou encore en repoussant et effrayant des ennemies. Il s'agit de choses très nobles, évidemment, mais qui conviennent parfaitement aux enseignements de la Sainte Lumière, amenant autrui à construire un monde meilleur en aidant autrui. L'Église a à cœur les intérêts de tout le monde et fait vraiment tout son possible pour aider tout le monde. Il s'agit d'une religion dédié à rendre tout le monde heureux, sans mentionner le fait que ses praticiens semblent tous touchés par la bénédiction divine.

Même ceux déterminés à douter sont forcés de reconnaître les immenses pouvoirs que la Lumière donne à ses suivants pour combattre les ténèbres. Personne ne sait vraiment comment l'Église s'est formé. De la même façon, personne ne sait comment les premiers initiés ont découvert la Lumière — ou ont été découvert par. Ses membres prêchent ses idées, montrant comment cette force impressionnante et bénévole existe et recherche des âmes valeureuses intéressées par aider son prochain et protégeant la vie de manière générale. La Sainte Lumière est une étrange philosophie (il s’agit vraiment plus d’une philosophie que d'une religion) puisqu’elle n’implique pas un culte à une personne ou une entité — la Lumière est plus une forme, véritable, et l’honnêteté et la compassion sont bien plus important que l’argent, le vin ou tout autre forme de sacrifice. Elle implique également beaucoup d’études, de méditations et contemplations, notamment sur soi-même afin de devenir une meilleure personne dans le but de communier parfaitement avec la Sainte Lumière. Ses premiers membres avaient probablement des librairies avant d’avoir des églises, et ses dernières se sont développées depuis celles-ci. On peut supposer que c’est en se mettant à fonctionner toute ensemble que ses églises ont formé l’institution.

Histoire[]

Origine[]

Les origines de cette église remonteraient à plus de deux mille ans, lors de la période chaotique des Guerres trolles. Un général humain, Lordain, sacrifia sa vie avec abnégation pour retenir les forces écrasantes des Trolls amani qui menaçaient de détruire une armée d'humains unifiés. Sa sœur se trouvait parmi les personnes qu'il sauva ce jour-là, un guerrière renommée appelée Mereldar.

Quand la guerre prit fin, Mereldar dédia sa vie au soin des vétérans blessés de l'humanité. Ce fut elle qui, la première, parla aux autres humains de ses visions de la Lumière. Dans ses rêves, Mereldar voyait cinq formes étranges, non humaines, vibrant de pouvoir sacré. Ces êtres emplirent son esprit d'une sagesse mêlant le sacré, la protection, la justice, le châtiment et la compassion. Quand elle mit en pratique leur enseignement muet, le pouvoir sembla se déverser à travers elle. Les patients dont elle s'occupait virent leurs blessures disparaître et leurs maladies s'évanouir.

D'autres humains déclarèrent avoir reçu les mêmes visions. Mereldar les rencontra et, ensemble, ils codifièrent par la écrit la sagesse rayonnante de cette puissance supérieure. Un mouvement religieux prit forme sur la base des enseignements consignés dans ces livres. Il reposait sur le principe de l'altruisme et sur la croyance que la Lumière vivait en toutes choses. Ce mouvement contribua à étendre la foi en la Lumière sacrée et devint la religion humaine prédominante.[1]

Naissance et codification[]

Des siècles plus tard, les dirigeants de Lordaeron codifièrent les traditions et systèmes de croyance centrés sur la Lumière. L'Église de la Lumière sacrée fut le fruit de leurs efforts. Lordaeron servit de foyer à cette église et devint une destination populaire pour les voyageurs cherchant la guérison, la sagesse et la paix intérieure.

L'Église bâtit des temples et des sanctuaires sur les vastes étendues des terres humaines et créa une hiérarchie de dirigeants religieux pour chapeauter ses fidèles. Les lieux de culte les plus importants étaient situés dans les verdoyantes Sylves de l'Est. Les sites les plus vieux et les plus révérés étaient la chapelle de l'Espoir de Lumière, Stratholme, Andorhal et la Main de Tyr.[1]

Création de l'ordre saint des Clercs de Comté-du-Nord[]

Au fil des décennie, des clercs dévots de la récente Église de la Lumière sacrée s'aventurèrent au sud depuis Lordaeron pour diffuser leur foie. En atteignant Hurlevent, ces pieux individus fondèrent l'ordre saint des Clercs de Comté-du-Nord. Le royaume voyait en eux une source de sagesse et de réconfort dans les temps difficiles. Leur cœur fortifié du royaume humain offrait désormais, en plus de la sécurité, l'éveil spirituel à ses habitants.[2]

Pendant une longue période, l’Église était la religion humaine dominante. Les suivants de la Lumière étaient partout, favorisant la civilisation et construisant des cités, fondant des temples et apportant généralement joie et espoir ainsi qu’ils aidaient tout le monde. Puis la Première guerre a commencé. Et les membres de l’Église, dans le dur des combats, utilisèrent leurs pouvoirs pour repousser la Horde. C’était impressionnant, vraiment inspirant. Malheureusement, pour certains, la plupart des prêtres se concentraient à défendre les gens plutôt que de prendre part au combat contre la Horde. Et il n’y avait tout simplement pas assez de prêtre pour couvrir tout le territoire humain.

Le maître de l’Ordre Sacré des Clercs de Comté-du-Nord pendant la guerre était l’Archevêque Alonsus Faol, et son apprenti était un dévoué palefrenier nommé Uther. Après la Première guerre, Alonsus savait que l’Église devrait faire plus quand les orcs reviendraient — ses gens devaient se lever et se battre au lieu de simplement soigner et défendre. Ils devaient aller contre les ténèbres et empêcher activement ces dernières de blesser quiconque, plutôt que d’attendre passivement que la chose arrive. Il lança alors un appel aux plus braves des chevaliers pour qu’ils rejoignent son nouvel ordre, les Chevaliers de la Main d’Argent dont Uther était le premier membre. Ainsi sont nés les paladins. Ils virent leurs premières batailles pendant la Seconde guerre et leur rôle a été fondamental dans la victoire de l’Alliance à l’époque.

Certains prétendent que la Troisième guerre était la meilleure chose qui pouvait arriver à l’Église. Cette dernière a finalement abandonné ses anciennes coutumes et commença sa mue. Parmi les plus jeunes prêtres, certains suggérèrent que l’Église saisisse cette opportunité pour se reconstruire, mettant de côté un grand nombre des ses anciennes traditions et en initiant de nouvelles. Ils clamèrent que l’Église s’était écarté du chemin des Trois Vertus et devait impérativement retourner aux bases de son enseignement. Comme le disait certains jeunes prêtres, leurs ainés avaient perdu le contact avec la Lumière et il était temps de réclamer à nouveau cette communion sacrée.

Depuis, certaines rumeurs sur une séparation à l’intérieur de l’Église elle-même circulent. Il est dit que ses membres s’affrontent pour conserver les anciennes traditions ou pour en forger de nouvelles. Le fait que l’Église ait perdu la plupart de ses textes, détruits pour la plupart, n’a guère aidé et certains nouveaux textes ont vu le jour — certains parlant des mêmes choses mais sans évoquer de notes comparatives ou sources similaires. Il paraitrait que l’Église se réorganise finalement et souhaite voir tout ses textes afin de vérifier la fiabilité et le contenu des dits textes, mais on ne sait pas si la chose est véridique. Nul ne peut contester que l’Église est maintenant plus forte qu’elle ne l’a jamais été pendant les derniers siècles : elle se reconstruit, regagne des terres et s’élève contre le Fléau et tout les autres malheurs et fléaux d’Azeroth.

Attitude récente vis-à-vis des connaissances[]

Les adeptes de la Lumière encouragent beaucoup les débats, et les bibliothèques de Lordaeron étaient autrefois remplies de livres explorant de subtils points d'éthique ainsi que les interactions entre les trois grands principes. Malheureusement, la plupart de ces textes furent détruits au cours de la guerre. Il ne reste plus aux érudits que les quelques livres qu'il purent sauver du désastre et emmener avec eux en Kalimdor. Les textes de la Lumière Sacrée sont actuellement en cours de réécriture, ce qui va permettre une renaissance de la pensée philosophique traditionnelle. Ainsi, plutôt que d'explorer les recoins les plus obscurs de traités depuis longtemps établis à la recherche de bribes d'originalité, des esprits ouverts vont considérer cette pensée sous de nouveaux angles.

Quelques penseurs en colère condamnent la restauration des textes, considérant l'ensemble de la philosophie comme dépassée et simpliste. Nombre d'entre eux proposent de nouveaux systèmes de pensée, dont la plupart reposent sur des systèmes complexes de divination et de résolutions morales. Cela entraîne un véritable remue-ménage au sein des cercles d'érudits, mais ces penseurs n'ont que peu d'influence sur les peuples séculiers de Kalimdor. La plupart des adeptes préfèrent pratiquer la Lumière Sacrée comme ils ont aimé le faire pendant des années.

Organisation[]

L’Église dispose d’un archevêque qui en a la charge, assisté par un conseil d’évêque pour l’aider et le conseiller. Habituellement, l’archevêque était lui-même un évêque avant d’être élu par ses pairs, et une fois choisi il le reste jusqu’à sa mort ou jusqu’à qu’il décide lui-même de se retirer. Les évêques font plus que simplement conseiller l’archevêque, bien sûr. Chacun d’entre eux est en charge d’une région, et même dans certains cas un continent entier. La séparation des régions est basée sur la population des zones plus que sur son étendu ; ainsi certains évêques peuvent être responsable uniquement d’une grande cité pendant que d’autres ont d’immenses campagnes. Hurlevent dispose de son propre évêque, de même que le Norfendre. Les prêtres travaillent pour les évêques, faisant la plupart du travail quotidien pour la communauté : prêchant, soignant et réconfortant les blessés, enseignant aux enfants et ainsi de suite.

L’Église de la Sainte Lumière ne fonctionne que via les donations qui lui sont faites. Pour subvenir à ses besoins, elle a besoin d’obtenir de l’argent. Elle dispose de fermes partout dans la campagne, la plupart étant des monastères où les moines élèvent cultures et bétails ainsi que de tout ce dont l’Église a besoin, revendant les surplus. Dans quelques régions, l’Église possède des arpents de terre qu’elle loue à des fermiers, commerçants ou hommes d’affaire. A savoir que l’Église ne garde que très peu de ses bénéfices — si elle en a — puisqu’elle distribue toujours nourriture, habits et outils aux plus pauvres. Ses membres enseignent également comment prier, sur la santé et l’agriculture et généralement comment être une bonne personne.

Avant la Première Guerre, l’Église disposait de trois centres majeurs : l’Abbaye du Comté-du-nord dans la partie sud-ouest d’Azeroth, le Temple de la Lumière à Stratholme et la Cathédrale de la Lumière dans Hurlevent. La horde détruisit l’Abbaye pendant la Première guerre, la brulant et la rasant. Le Temple de la Lumière tomba en même temps que la ville aux mains du Fléau. Seul reste la Cathédrale de la Lumière, qui est donc devenu le quartier général de l’Église. Grande structure avec beaucoup d’ailes, la Cathédrale abrite l’Archevêque Benedictus, l’évêque de Hurlevent et divers autres prêtres, notables ou non. Elle contient également la Grande Chambre, une vaste salle de réunion où se rencontrent les évêques avec l’archevêque pour discuter des actions de l’Église. L’Abbaye du Comté-du-nord fut reconstruite ultérieurement mais n’est plus qu’une sorte d’avant-poste de la Cathédrale de la Lumière et ne dispose plus de sa gloire passée.

Organisations dépendantes de l’Église de la Lumière[]

Membres et instructions[]

N’importe qui peut suivre le chemin de la Lumière et n’importe quelle personne suivant ce chemin est accueillie par l’Église. La plupart de ses membres sont humains, mais l’Église ne fait pas de discrimination. Les Haut-Elfes et les nains de Forgefer ont longtemps été comptés parmi ses membres.

Même si n’importe qui peut devenir un membre de l’Église, devenir un prêtre est une épreuve longue et dure. Venant à l’origine de diverses origines et classes, ayant appris auprès d’assistants tout sur l’histoire de l’Église, ses principes et activités, les candidats se doivent d’étudier énormément avant de pouvoir espérer prétendre à plus. Si le candidat réussit pendant ses classes, il accède au niveau supérieur et est pris personnellement en charge par un prêtre, apprenant les prières et autres dévotions. La plupart des candidats deviennent alors assistants, travaillant pour l’Église tout en continuant leurs études. Ils peuvent passer plusieurs années dans leur érudition, jusqu’à ce que le prêtre référent sente que l’étudiant est prêt. Après une audience avec l’évêque, le futur prêtre est envoyé dans un monastère de l’Église pour une durée variant entre plusieurs mois à plusieurs années, à l’écart de tout le monde excepté la foi. Pendant ce temps, la plupart d’entre eux expérimentent la véritable communion avec la Lumière pour la première fois de leur vie. Si l’étudiant maintient ses preuves de foi et semble toujours convenir, le dirigeant du monastère le supporte alors pour l’ordination. Une fois un prêtre ordonné, le conseil décide de son affectation et de sa mission, que cela soit pour travailler dans une ferme ou prêcher dans une ville. La plupart des prêtres restent avec l’Église jusqu’à ce qu’ils meurent, même s'ils s’investissent plus dans des travaux d’études et de prières avec l’âge, délaissant le labeur physique. Toutefois, certains perdent la foi et renoncent à leurs vœux. Ceux qui restent et qui se distinguent spirituellement et politiquement peuvent s’élever dans la hiérarchie de l’Église et devenir éventuellement évêque.

Après la Seconde Guerre, l’Église de la Lumière n’avait que très peu de membres — principalement dû au fait que beaucoup moururent en Lordaeron — et la plupart des temples n’avaient qu’un seul prêtre ou étaient abandonnés. Cependant les hommes du peuple se présentent à nouveau pour l’ordination depuis la Troisième guerre, et les temples sont maintenant complètement remplis à nouveau.

Dirigeant(s)[]

Le conseil se constitue de nombreux évêques, même si naturellement tous ne peuvent assister à toutes les réunions. Beaucoup règnent sur leur propre régions mais restent silencieux pendant les réunions, n’exprimant leurs opinions qu’en hochant ou désapprouvant du regard une proposition, sans dire mot. D’autres sont plus expansifs, plus agressif et plus politique. Trois d’entre eux ont formé leur propre base de pouvoir dans le conseil, et ils sont avec l’archevêque les véritables dirigeant de l’Église — d’autres peuvent aussi dire que ces trois évêques sont le pouvoir et que l’archevêque danse désespérément entre eux, essayant d’empêcher un schisme.


Humain Archevêque Benedictus Cathédrale de la Lumière, Hurlevent
Humain Hylan Cathédrale de la Lumière, Hurlevent (RPG)
Humain Leander Cathédrale de la Lumière, Hurlevent (RPG)
Humain Neheri Cathédrale de la Lumière, Hurlevent (RPG)

Les Trois Vertus[]

La philosophie de la Sainte Lumière repose sur trois enseignements, appelés les Trois Vertus. Ces vertus — respect, ténacité et compassion — sont chacune définie en principe et leçon.

Respect[]

La première vertu enseignée est le respect. Alors que la Lumière enseigne que de s’ouvrir sur soi et sur le monde est un objectif majeur, on doit également voir les connections entre autrui et l’univers. Détruire le bonheur des autres et affecter leurs connections avec l’univers ne sert pas le bien-être du monde, et par conséquent le nôtre. Les praticiens de la Lumière ne sont pas naïfs cependant, et comprennent bien que jugements, conflits, guerres et souffrances sont des choses qui arrivent, mais ils essayent de faire de ce monde un endroit meilleur.

Ténacité[]

La seconde vertu est la ténacité. L’adhérence à cette vertu se fait via l’apprentissage auprès de la Lumière puisque celle-ci démasque les non-croyants et infidèles, comme les devoirs religieux prennent généralement des années pour s’accomplir. Les jeunes initiés perdent souvent l’espoir et le véritablement sens de la Lumière quand ils réalisent que toute leur vie sera dédiée à servir cette philosophie. Le monde est bien plus grand qu’une seule pauvre âme ; et alors que le monde peut changer une âme en un jour, cela prend bien plus de temps pour changer le monde. C’est seulement grâce à la ténacité qu’un servant de la Lumière espère affecter l’univers. Si quelques jeunes étudiants ressentent cela comme une tâche impossible, d’autres prennent à cœur que si on croit véritablement, il existe des connexions entre soi-même et l’univers : quelqu’un ne peut pas aider, mais toucher l’autre, peu importe l’importance. Affecter le monde peut impliquer de nombreuses choses, comme d’apprendre et instiller l’espoir à autrui jusqu’à joindre les autres personnes individuelles afin de travailler ensemble à créer un changement encore plus important.

Compassion[]

Après que les deux premiers concepts aient été maîtrisé, l’étudiant peut continuer et apprendre la dernière vertu : la compassion. La connexion entre soi-même et l’univers est forte, mais n’est qu’une seule connexion. Si un adepte de la Lumière sert un autre pour augmenter son bonheur, son propre lien avec l’univers en ressortira renforcé. Le bonheur qu’il reçoit en aidant quelqu’un le rend plus fort, lui et l’univers, et lui permet d’avoir une plus grande influence sur le monde.

La compassion est peut être la plus puissante — et aussi la plus dangereuse — vertu.

Si quelqu’un éprouve trop de compassion, il pourrait être amener à donner son aide à quelqu’un n’en éprouvant pas le besoin — ou ne le voulant pas. Cette trop grande bonté peut gêner le développement et le bonheur d’un autre. Par exemple, quelqu’un peut aider un autre avec une quête apparemment impossible, quand une telle quête est tout simplement en dehors des capacités. Ainsi, la Compassion (toutefois bien intentionnée) de quelqu’un a entrainé le développement de l’incapacité (ou du sentiment de) d’un autre, puisque la quête est « essentiellement fait pour lui », masquant et empêchant donc son bonheur et son propre développement.

Certaines aides sont donc dur à gérer et peuvent entrainer plus de mal que de biens par leur existence, augmentant la souffrance et le malheur dans le monde.

C’est pourquoi la compassion est la dernière vertu enseigné : seuls les sages et ceux qui ont complètement compris la compassion peuvent identifier ceux qui sont véritablement dans le besoin de ceux qui peuvent se développer par eux-mêmes.

Références[]

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